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  • BARRAGES COUPE DU MONDE 2006 Au terme d'un match complètement fou, le visiteur a décroché son billet pour le Mondial. Des bagarres ont éclaté lors du retour aux vestiaires. Grichting, Vogel, Huggel et Burgener ont essuyé des coups

    Suisses s'enfuyant à toutes jambes dès le coup de sifflet finalL'image est saisissante, qui fera le tour du monde: celle de joueurs suisses qualifiés pour la Coupe du monde mais s'enfuyant à toutes jambes dès le coup de sifflet final pour tenter de rejoindre leurs vestiaires afin d'échapper à la meute des... joueurs turcs lancés à leur poursuite sur ordre de Fatih Terim. Mauvais perdant, le sélectionneur a(urait) demandé à ses protégés de «casser du Suisse», de faire notamment sa fête à Vogel, appelé à revenir ici même mardi prochain avec le Milan AC pour le compte de la Ligue des champions. Des altercations allaient du reste se produire, et des incidents éclater lors du retour aux vestiaires, alors que les supporters helvétiques étaient encadrés par la police. Agressés par leurs homologues turcs, Grichting - le visage en sang, le défenseur a dû être évacué à l'hôpital -, Vogel, Huggel et Eric Burgener ont été touchés dans la bataille d'Istanbul. A la mi-temps déjà, Degen avait été bousculé par Sükür. Le fair-play demeure une vertu peu cultivée aux bords du Bosphore. Qu'importe les circonstances, parfois dramatiques, l'essentiel a été atteint par la Suisse, qualifiée grâce aux buts marqués à l'extérieur.

    Alors même que la Turquie, que l'on pensait définitivement éliminée, avait repris espoir à la 89e minute lorsque Tuncay (trois buts hier soir) profitait d'une nouvelle hésitation de Zuberbühler, la Suisse allait vivre les quatre minutes d'arrêts de jeu les plus longues de son histoire; jusqu'à l'ultime coup de sifflet de M. De Bleeckere, l'expédiant officiellement en Allemagne. Mais que ce fut dur avant cette explosion de joie! Une fois, deux fois, trois fois, Vogel et Cie faillirent tout perdre. Leur mérite fut de reprendre leurs esprits en deuxième période, après le 3-1 turc obtenu sur penalty.

    Le visiteur avait pourtant connu un départ idéal, en obtenant un penalty express après... 24 secondes de jeu seulement. En guise de l'enfer annoncé, c'était plutôt le paradis. Menant alors 3-0 à l'addition des deux matches, la Suisse s'était-elle à ce moment-là crue trop vite qualifiée? Le ciel allait lui tomber sur la tête quand Tuncay, chaque fois de la tête, relançait les actions turques en exploitant la fébrilité de Zuberbühler. Deux buts qui provoquaient le réveil d'un public chauffé à blanc. Paradoxalement, la Suisse allait connaître sa meilleure période au moment de se retrouver au bord du vide. La rocade opérée entre Barnetta et Wicky permit d'équilibrer l'équipe. Comme Gygax avant lui (occasion de... 0-2 juste avant le premier but turc), Frei se procura une, puis deux occasions de but. Qu'il manqua, aïe! Echappant à toute logique, le scénario aurait pu être catastrophique pour la Suisse. Mais il allait être celui du bonheur. La Suisse ira en Allemagne, et au vu de ce qu'elle a montré dans son groupe de qualification - et encore hier soir, ce n'est que justice. Sur le coup de 22?h?45, dans un stade vide annexé seulement par 600 supporters, Köbi Kuhn fit enfin son apparition. La fête pouvait commencer. Encadrée par la police et l'armée turques....

    Nicolas Jacquier
    </font />Le Matin

    L'enfer mène la Suisse au paradis !


    Un Suisse à l'hôpital 
    <shapetype id="_x0000_t75" coordsize="21600,21600" o:spt="75" o:preferrelative="t" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" filled="f" stroked="f" /></shapetype />Köbi Kuhn touché par un projectileDébordements inqualifiables dans les vestiaires du stade de Fenerbache. Comme on pouvait le redouter, les Turcs ont laissé éclater leur rage à l'issue du match. Le service de sécurité et les joueurs n'ont pas hésité à frapper les Suisses. Le plus touché est Grichting. Le Valaisan a reçu un coup de pied dans le bas-ventre. Il a été emmené à l'hôpital. Vogel, Huggel et l'entraîneur des gardiens Burgener ont également été agressés. «C'est un véritable scandale, fulminait Kuhn. Le fait de constater que les policiers turcs n'ont pas hésité une seconde à frapper aussi les gens de la télévision turque pour les empêcher de filmer la scène est révélateur du climat dans lequel nous avons baigné la fin de ce match»

    Les pays qualifiés
    Europe: Allemagne, Ukraine, Pays-Bas, Pologne, Angleterre, Croatie, Italie, Portugal, Suède, Serbie-Monténégro, France, Suisse, Espagne, République tchèque.
    Amérique du Sud: Argentine, Brésil, Equateur, Paraguay.
    Asie: Japon, Iran, Corée du Sud, Arabie saoudite.
    Océanie: Australie.
    Concacaf: Etats-Unis, Mexique, Costa Rica, Trinité-et-Tobago.
    Afrique: Angola, Côte d'Ivoire, Ghana, Togo, Tunisie.

    Turquie-Suisse : résumé du match </font />
    Turquie-Suisse : réactions des joueurs suisses </font />
    Turquie-Suisse : Sortie du stade des supporters suisse </font />
    Turquie-Suisse : réactions de Sepp Blatter président de la FIFA </font />
    arrivée de l'équipe de Suisse à l'aéroport de Kloten</font />

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  • Un nouveau leader pour la construction suisse

    ImpleniaZschokke et Batigroup conjuguent leurs forces pour créer Implenia - Développement de prestations à plus forte valeur ajoutée

    Genève, Bâle et Zurich, le 15 novembre 2005. - Les deux leaders de la construction suisse, Zschokke Holding SA et Batigroup Holding SA, joignent leurs forces en une offensive stratégique. Ils intègrent leurs entreprises, qui se complètent de façon idéale en matière d'activités et d'implantations géographiques, au sein de la nouvelle société Implenia. Les propositions correspondantes seront soumises à l'approbation des Assemblées générales de Zschokke et de Batigroup, prévues le 2 mars 2006.

    Implenia aura son siège à Zurich, alors que les unités opérationnelles, elles, auront leur siège juridique à Genève, Bâle et Zurich. Implenia devient ainsi le numéro 1 de la construction helvétique, avec un chiffre d'affaires de CHF 2,70 milliards, une capitalisation boursière pro forma de quelque CHF 360 millions et des effectifs d'environ 6'500 employés. Plus importante entreprise d'une branche très fragmentée, Implenia détiendra, à l'échelon national, une part de marché de 5%, environ. Dans la production, elle entend s'imposer par la compétitivité de ses coûts et continuer à développer, en amont et en aval, des prestations de services à forte valeur ajoutée. Implenia veut ainsi jouer un rôle plus actif face à la concurrence internationale, tant en Suisse qu'à l'étranger. Pour les clients, cette union offrira des avantages significatifs, grâce à une forte proximité dans toutes les régions du pays, à un savoir-faire cumulé et aux compétences élargies d'équipes qualifiées et expérimentées.

    Compte tenu de la grande complémentarité entre Zschokke et Batigroup, leur intégration devrait entraîner une compression des effectifs inférieure à 10 %. De plus, prévue sur les deux prochaines années, cette réduction sera en grande partie assurée par les départs naturels, par la diminution des missions de travailleurs temporaires ou de travailleurs au bénéfice d'une autorisation de courte durée, par des mutations et par des retraites anticipées.

    Implenia constituera des provisions adéquates pour venir en aide aux personnes éventuellement en difficulté. La procédure de consultation des collaboratrices et collaborateurs prévue en cas de concentration d'entreprises débutera ces prochains jours. Implenia estime que l'intégration des deux entreprises entraînera des coûts uniques de quelque CHF 45 millions, lesquels seront compensés par des gains de synergie évalués à CHF 20 millions par an, au moins, au niveau du résultat opérationnel (EBIT). Les Conseils d'administration de Zschokke et de Batigroup considèrent donc que cette union permettra d'améliorer durablement non seulement le rendement du capital, mais aussi la sécurité de l'emploi.

    Au plan juridique, la création du nouveau leader de la branche se concrétisera par une fusion de Zschokke Holding SA et de Batigroup Holding SA dans la nouvelle société Implenia. Après avoir réciproquement examiné les dossiers de l'autre entreprise, les Conseils d'administration de Zschokke et de Batigroup sont tombés d'accord sur un rapport de 65 / 35.

    Décision prise sur des bases solides

    Comme l'ont relevé, ensemble, les deux présidents des Conseils d'administration de Zschokke Holding et de Batigroup Holding, Anton Affentranger et Markus Dennler, les organes dirigeants des deux sociétés ont pu décider la création d'une entreprise commune en s'appuyant sur des bases solides : « Notre position de leader nous permet de prendre l'initiative et mettre en ouvre notre vision avec une totale liberté d'action», ont souligné les deux présidents pour expliquer le timing et la stratégie de cette décision. « Nous entendons nous concentrer sur nos atouts pour nous affirmer face à la concurrence croissante des groupes internationaux sur un marché ouvert ».

    D'entreprise de construction à entreprise de services

    Les surcapacités du marché et la sous-enchère qui en résulte, ainsi que la concurrence accentuée par la libéralisation et l'obligation de fournir d'importantes prestations préalables sans avoir la certitude d'emporter le contrat correspondant, sont des contraintes de plus en plus exigeantes pour les entreprises suisses de construction. La construction traditionnelle restera la base des activités de Implenia, mais elle sera enrichie, en amont et en aval, selon une stratégie clairement définie, par une orientation plus marquée sur les prestations de services à plus forte valeur ajoutée. 

    « Nous ouvrons de nouvelles perspectives à nos activités traditionnelles de construction, en développant nos prestations tout au long de la chaîne de création de valeur. A l'avenir, ces prestations représenteront une part importante de nos activités et feront d'Implenia un groupe industriel offrant des services très diversifiés », ont précisé les deux présidents, en commentant l'orientation stratégique de Implenia. La priorité va ainsi au développement de projets, à la gérance immobilière et au Facility Management.

    Une entreprise forte dans tous les domaines clés

    L'objectif d'Implenia est d'être le numéro 1 du marché en matière de compétitivité des coûts et de technologie, afin de renforcer sa capacité concurrentielle en Suisse et à l'étranger. Cette ambition et sa position privilégiée dans le domaine de l'informatique et de la gestion de processus complexes donnent à Implenia des atouts majeurs pour améliorer la productivité de la construction de routes et d'infrastructures, deux secteurs à faible marge. En outre, Implenia consolidera sa position de leader suisse dans les domaines clés que sont la construction de tunnels et de ponts, le génie civil spécialisé, l'entreprise générale, le développement de projets et la gérance immobilière.

    Ses compétences et sa taille, laquelle lui permettra de prendre des risques entrepreneuriaux plus importants, feront d'Implenia un partenaire privilégié pour des consortiums internationaux ou l'organisation de grands projets étrangers. En améliorant sa capacité concurrentielle, Implenia - déjà confrontée à des concurrents étrangers pour l'attribution de grands chantiers - augmentera aussi ses chances en Suisse. C'est d'autant plus important que l'on s'attend, ces prochaines années, à un recul des investissements des pouvoirs publics helvétiques et, donc, à une concurrence plus acharnée.

    Les autorités de contrôle de la concurrence ne se sont pas encore prononcées sur cette union.

    Mise en ouvre rapide de la vision Implenia

    Au plan juridique, la création du nouveau leader de la branche se concrétisera par une fusion de Zschokke Holding SA et de Batigroup Holding SA dans la nouvelle société Implenia. Après avoir réciproquement examiné les dossiers de l'autre entreprise, les Conseils d'administration de Zschokke et de Batigroup sont tombés d'accord sur un rapport de 65 / 35. Pour les deux Conseils d'administration et leur conseiller financier commun, Swiss Capital Group, ce rapport reflète fidèlement la valeur de chaque entreprise, tout en correspondant à leur actuelle capitalisation boursière.

    Cette opération sera soumise aux Assemblées générales de Zschokke et de Batigroup, prévues pour le 2 mars 2006. Après l'approbation des actionnaires, la fusion sera effective avec effet rétroactif au 1er janvier 2006. Auparavant, Zschokke et Batigroup auront versé à leurs actionnaires un éventuel dividende pour l'exercice 2005. Les actionnaires de Zschokke recevront 40 actions Implenia pour chacune de leurs actions Zschokke, alors que les actionnaires de Batigroup recevront une action Implenia pour chacune de leurs actions Batigroup. L'équité de ce rapport d'échange a été confirmée par la Banque Sarasin & Cie SA. Il est prévu que l'échange d'actions et la cotation d'Implenia à la bourse SWX Swiss Exchange interviendront immédiatement après les Assemblées générales. Simultanément, le négoce des actions Zschokke et Batigroup sera suspendu.

    Le Conseil d'administration d'Implenia est constitué par trois représentants de Zschokke et trois représentants de Batigroup. Pour Zschokke, il s'agit du président du Conseil d'administration, Anton Affentranger, de Toni Wicki et de Phi­lippe Zoelly; pour Batigroup, du président du Conseil d'administration, Markus Dennler, de Claudio Generali et de Patrick Hüner­wadel. Pour son premier mandat, le Conseil d'administration d'Implenia sera constitué comme suit : Anton Affentranger, président, Markus Dennler, vice-président, lesquels forment le Comité exécutif du Conseil d'administration avec Patrick Hünerwadel. Le directeur général d'Implenia sera l'actuel directeur général de Zschokke, Christian Bubb. Werner Hel­fenstein, directeur général de Batigroup, accompagnera l'intégration de Zschokke et de Batigroup avant de se consacrer à d'autres responsabilités.

    Informations supplémentaires et photos peuvent être consultées et téléchargées sur le site de Implenia (Implenia).

    Les compressions d'effectifs prévues sur deux ans devraient être inférieures à 10 %, ont indiqué les deux entreprises mardi. Quelque 650 emplois sont menacés. On peut remercier l'entreprise Zschokke et Batigroup pour ce gâchis !!


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  • roueViège >> Plus d'un milliard d'investissement et une nouvelle plaque tournante à l'arrivée du Lötschberg. La nouvelle métropole haut-valaisanne veut le faire savoir.</font />


    A la fin de 2007, la ville de Viège se trouvera à une heure de Berne, à deux heures de Zurich, à deux heures de Genève et à deux heures de Milan. Autant dire que la ville haut-valaisanne deviendra une petite métropole, nouvelle plaque tournante valaisanne du trafic. Et pourquoi cela? Parce que le tunnel de base du Lötschberg sera mis en exploitation à ce moment-là et qu'il réduira considérablement les distances avec les villes du Plateau suisse; et même avec la Suisse romande et la Lombardie voisine, grâce à l'amélioration des horaires et du matériel roulant. En effet, Viège deviendra la gare d'échanges des Pendolini de Milan à Berne et de Milan à Genève.
    Maintenant le président de la ville Bernard Imoberdorf veut le faire savoir. Il s'appuie sur son vice-président Niklaus Furger, d'ores et déjà élu comme nouveau gourou du «city marketing» par ses collègues des autres villes suisses.

    En collaboration avec des professionnels de la communication, ils ont sorti deux brochures qui vanteront leur ville, d'abord comme lieu d'habitation, ensuite comme centre d'affaires. Le tout est assorti d'une présentation «PowerPoint) pour des conférences éventuelles. On retrouve tout ça sur le site internet www.visp.ch 
    Les brochures seront diffusées à partir d'aujourd'hui. Mais les premières réactions ont déjà filtré de la population, qui ne savait pas que sa ville était si riche et si bien pourvue. Par exemple, la brochure «Votre lieu d'habitation» explique que Viège procure 7700 emplois pour 6500 habitants, qu'elle est une plaque tournante du trafic à deux pas de Berne et de Sion, une centre d'achats régional pour 40 000 habitants, un centre culturel avec le Théâtre La Poste. Elle a même un hôpital de soins aigus et permet une formation supérieure, continue ou à distance, à un rythme pendulaire.
     
    De son côté, la bourgeoisie de Viège a acheté pour 3 millions de francs de terrains artisanaux, ces cinq dernières années. Il sera disponible en droit de superficie à d'intéressantes conditions. Le plus intéressant c'est la construction privée en droit de superficie de 80 ans: une première valaisanne. Cela concerne aussi bien des maisons individuelles que des immeubles. Exemple de loyer en droit de superficie: 6 à 9 francs le m2 par an.

    René Imoberdorf s'attend, malgré la rude concurrence marketing des autres villes, à une croissance de 5% de la population. Cependant, la demande est également forte pour le terrain artisanal. Nul doute que l'annonce de plus d'un milliard de francs d'investissements dans les cinq prochaines années, fasse réfléchir plus d'un homme d'affaires. Ce milliard regroupe en effet les 800 millions de l'autoroute à construire et les 300 millions à la gare de Viège (y compris le raccord au tunnel du Lötschberg à Rarogne).

    Pascal Claivaz
    Nouvelliste


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  • ...où tout fonctionnait à merveille: poste, chemins de fer, etc., où la sécurité régnait, où la compétence dans tous les domaines était remarquable (du ferblantier jusqu'au juge), où la propreté régnait...

    Oui, vous avez deviné: je parle de la Suisse des années huitante. Pour la Française que j'étais, la Suisse m'apparaissait comme un pays de cocagne où même les fonctionnaires travaillaient... Mais tout ceci disparaît ou a disparu progressivement, car on a voulu faire croire aux Suisses qu'ils étaient en retard pour tout et dès lors, on ne parle plus que de la nécessité d'une ouverture, comme si la Suisse n'entretenait aucune relation avec les pays extérieurs auparavant... Pourtant la Suisse est un modèle dans l'histoire européenne au niveau de l'aide qu'elle apporte et au niveau diplomatique. Mais ce petit pays qui possède un grand rayonnement est en voie de disparition car l'Union européenne va l'avaler d'une bouchée. Les fameux accords bilatéraux ne sont là que pour cela...

    Les différents Européens avec qui l'on parle nous disent: «Vous, les Suisses, vous en avez de la chance: pas d'euro, pas d'UE, par de réglementations européennes drastiques et bêtes !» Etc.
     
    Alors pour que la Suisse demeure en tant qu'Etat neutre et indépendant et que les Suisses ne deviennent pas des pions sur l'échiquier de l'UE, votons non aux accords bilatéraux.

    Brigitte Banchchut Vétroz


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