•  Une halle multifonctionnelle avec centre commercial est à l'étude à l'est de la ville de Sierre. Ce projet est l'oeuvre de Christian Constantin. Concurrent sérieux de celui de Daval?

    Un projet de halle multifonctionnelle avec centre commercial à Sierre? Déjà vu et entendu du côté de Daval. Sauf que cette fois, ça se passe à l'est de la ville, entre la rue du Stand et le viaduc d'Anniviers. Première surprise.

    Selon nos sources, un terrain d'environ 40 000 mètres carré fait l'objet d'une étude, avec maquette et photomontage des infrastructures prévues. Le projet comprend une halle multifonctionnelle ainsi qu'un centre commercial à proximité immédiate. Et seconde surprise - voire demi-surprise - le bureau d'architecture mandaté pour cette étude n'est autre que celui de Christian Constantin, l'actuel président entraîneur du FC Sion!

    L'architecte n'a-t-il qu'un mandat, a-t-il des investisseurs, en fait-il partie? Le principal intéressé n'a ni confirmé ni infirmé ces informations. «Je ne fais aucun commentaire», a-t-il simplement lâché. Tout aussi laconique, le propriétaire de la majeure partie des terrains supposés accueillir les infrastructures, Victor Zwissig a, lui, démenti catégoriquement. «Ce n'est pas vrai. Il s'agit tout au plus de rumeurs.» Reste que Christian Constantin n'en est pas à son coup d'essai dans la région. Le Martignerain avait déjà proposé un projet concret de ce type il y a un lustre dans la zone de Rossfeld.

    Que dit le plan directeur?

    Côté autorités, si le président de la ville Manfred Stucky dit ne pas être au courant de ce nouveau projet de halle principale de glace, le plan directeur des infrastructures sportives de la ville de Sierre retient cinq sites potentiels: Daval, Ecossia, Condémines, Rossfeld et surtout Chétroz situé en zone d'intérêt général au nord de l'Île Falcon, c'est-à-dire jouxtant le périmètre retenu par ce nouveau projet.

    On peut y lire que «ce site, à proximité de la zone industrielle, a l'avantage d'être en lien rapide avec l'autoroute et reste un site optionnel pour développer une infrastructure d'importance, notamment une halle multifonctionnelle priorisant le hockey sur glace. Il en résulterait une émulation favorisant le développement urbanistique du quartier.»

    Le secteur qui accueillerait l'implantation de la patinoire et du centre commercial est situé en zone mixte. Comprenez un espace tampon entre les zones industrielles et les zones d'habitations qui peut abriter des constructions artisanales, des bureaux, des commerces ne provoquant pas d'atteintes incompatibles à l'habitat, selon le règlement municipal. Compatible voire extensible à Chétroz?

    Daval et Constantin

    Rappelons que le problème majeur de l'autre projet situé à Daval - un site entre Sierre, Chalais et Chippis - est le délai de construction de l'infrastructure intimement lié au changement d'affectation de la zone. Cette halle multifonctionnelle, d'un coût de 80 à 100 millions de francs, surfaces commerciales comprises, est emmenée par le groupe de construction HRS qui voudrait la voir se réaliser rapidement.

    Le projet a notamment les faveurs du HC Sierre et du PDC sierrois alors que le Parti libéral radical verrait mieux une halle de glace sans surface commerciale localisée à Ecossia.

    Christian Constantin viendrait-il concurrencer le projet de Daval? Ou le patron du FC Sion veut-il simplement le ralentir en vue de préserver ses intérêts pour son projet de stade à Riddes?

    Gageons que le Conseil municipal, en promenade d'école à Amsterdam cette fin de semaine, suivra le dossier à son retour...

    Pascal Fauchère
    Le Nouvelliste

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  • A. Soutènement métallique description.

    Le premier type de soutènement employé dans les souterrains est le soutènement métallique qui comprend 4 catégories principales :

    Boulon à ancrage par gonflement1. Soutènement par boulons d'ancrage

    Ceux-ci sont de deux types : boulons à ancrage ponctuel, boulons à ancrage continu.
    Le choix entre ces deux types est essentiellement lié à la nature du terrain :
    - le boulon à ancrage ponctuel, plus rapidement mis en place et moins coûteux, nécessite un terrain suffisamment résistant au niveau de l'ancrage ;
    - le boulon à ancrage continu peut être à effet immédiat ou différé, provisoire ou permanent.
    On utilise assez souvent un premier boulonnage immédiat et un deuxième boulonnage en dehors du cycle d'avancement.

     

    2. Soutènement par cintres métalliques

    Ces cintres peuvent être des cintres lourds (H) ou réticulés pour les soutènements en grande section, ou des Cintres métalliquescintres plus légers (profilés TH, UPN) généralement en petite section..

    Les cintres réticulés présentent les deux avantages de facilité de mise en œuvre et de très bonne compatibilité avec le béton projeté. Leur emploi est déconseillé lorsque de fortes sollicitations sont prévisibles avant que le béton projeté puisse remplir son rôle. Le profil de la section doit bien sûr être suffisamment régulier (pas de hors-profil trop important).

      

    3. Soutènement par blindage.

    Les plaques de blindage sont mises, jointives ou non, entre les cintres et le terrain. Elles peuvent parfois être tenues par des boulons. Elles peuvent également être liaisonnées entre elles, les cintres ne servant qu'à leur montage et étant ensuite retirés après remplissage entre plaques et terrain.Blindage et enfilage 

      

    4. Soutènement par enfilage.

    Les plaques (plus épaisses que les plaques de blindage) barres ou rails sont ici foncés dans le terrain préalablement à l'excavation de celui-ci.

    Soutènement en béton

    Le soutènement peut aussi utiliser en tout ou partie du béton préfabriqué ou non.
    Les types de soutènement utilisant le béton sont les suivants :

    - Béton projeté :
    Il est très souvent utilisé en complément du soutènement métallique (boulons, cintres réticulés, TH.) ou en remplacement du blindage métallique. Il peut être renforcé par des fibres métalliques, voire par un treillis.

    - Prérevêtement coffré :
    Utilisé soit sur de très courtes longueurs, soit en complément d'un soutènement par cintres métalliques pour renforcer ceux-ci. Ce prérevêtement peut être réalisé avec un coffrage traditionnel ou avec des couchis métalliques jouant ce rôle de coffrage.

    Un revêtement définitif est ensuite mis en place à l'intrados du prérevêtement.


    - Revêtement à l'avancement :
    Le revêtement définitif du tunnel joue alors un rôle de soutènement en complétant l'action du soutènement métallique. Une telle méthode permet éventuellement d'utiliser des cintres permettant une recompression du terrain et de récupérer ceux-ci avant bétonnage.
     

    - Voussoirs métalliques ou en béton préfabriqué :
    Ces voussoirs peuvent être mis en place à l'abri d'un bouclier ou directement à l'avancement (en général dans le cas de grandes ouvertures et de faible avancement).
    Des voussoirs particuliers (généralement en fonte) peuvent être utilisés au droit des réservations.

    B. Domaine d'application

    En raison de leur diversité, les différents types de soutènements décrits, permettent de traiter les problèmes posés par toutes les catégories de terrain, éventuellement après un traitement de consolidation ou d'étanchéité. Pour préciser le domaine d'application de chacun d'eux, on peut se reporter à la recommandation de l'AFTES portant sur le choix d'un type de soutènement en galerie.

    Le choix du soutènement n'est pas seulement lié aux exigences du terrain, mais aussi au souci de protection du personnel.

    A l'exception des voussoirs, la décision de leur emploi peut être prise au fur et à mesure de l'avancement du chantier sans qu'il en résulte un délai important d'attente, à condition que leur application ait été prévue au marché et au bordereau des prix et qu'on dispose d'une quantité suffisante d'approvisionnements.

    C. Précautions d'emploi.

    Le principal problème posé par l'emploi de ces soutènements traditionnels est celui du choix du type et de la quantité de soutènement à utiliser en fonction des terrains rencontrés. Le choix qui appartient à l'entreprise doit être accepté par le maître d'œuvre.

    Pour éviter les désaccords fréquents à ce sujet, il convient généralement de veiller à ce que les prix de rémunération de ces différents types de soutènement soient homogènes.

    Dans tous les cas, on veille à ce que le soutènement soit posé aussi rapidement que possible après l'excavation et soit bloqué au terrain. Par ailleurs, on doit veiller à la stabilité des assises des pieds de cintres ou du prérevêtement.


    D. Performances.

    La mise en place d'un soutènement important au front de taille entraîne l'arrêt des autres phases du cycle de creusement. Il a donc une influence directe sur l'avancement du chantier. De ce fait, suivant le type de soutènement utilisé, le coût de l'excavation d'un tunnel peut varier de 1 à 4.


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  • Définition.

    Une galerie-pilote est une galerie de dimension réduite inférieure à la section de l'ouvrage définitif dans laquelle elle s'inscrit.Cette galerie exécutée au titre des travaux de génie civil n'a aucun caractère fonctionnel et fait parti intégrant du procédé de construction du tunnel.

    Elle peut dans certains cas servir de galerie de reconnaissance en phase de terrassement de la section "Géologie, Hydrogéologie, Géotechnique" ou réutiliser partiellement ou totalement une galerie de reconnaissance exécutée préalablement au contrat de travaux de génie civil.

    Ne sont pas concernées les galeries annexes (ventilation, drainage, sécurité, service...) exécutées hors de la section de l'ouvrage et nécessitées par le fonctionnement ou l'exploitation de l'ouvrage.

     

    Différents types de galeries-pilotes.

    Une galerie-pilote peut être une :

    - Galerie de reconnaissance permettant une bonne identification géologique et géotechnique du terrain en place en affinant les prévisions et en optimisant les soutènements nécessaires.

    - Galerie d'avancement dans le procédé de section divisée où la stabilité des fronts et des parements est accrue en diminuant la section d'excavation. Cette galerie précède le terrassement en pleine section. Quand sa longueur est limitée à 2 à 3 volées, il s'agit seulement d'un four d'excavation.

    - Galerie destinée à la mise en œuvre de procédés d'amélioration du terrain préalablement à son terrassement en pleine section.

    - Galerie de drainage à l'avancement destinée à abaisser la charge d'eau et évacuer les débits d'eau d'infiltration à front en diminuant ainsi les sujétions des venues d'eau en pleine section. Cette galerie peut n'être conduite que jusqu'à l'aquifère reconnu.

    - Galerie d'avant-trou faisant office de bouchon destinée à réduire les vibrations dans un creusement à l'explosif et optimiser ainsi la longueur des volées d'abattage ultérieures en pleine section. Cet avant trou est exécuté généralement au moyen d'une machine foreuse, dans certains cas (faible longueur) à l'explosif.

    - Galerie d'avant trou forée au tunnelier au centre de la section circulaire dans la méthode de creusement mécanisé par alésage successif.

    - Galerie creusée sur toute la longueur de l'ouvrage et destinée à améliorer les conditions d'hygiène et de sécurité pour un terrassement traditionnel à l'explosif ou à la machine à attaque ponctuelle : elle peut faire office en phase travaux de galerie de ventilation ou de galerie permettant d'évacuer les déblais de manière continue.

     

    Objectifs des galeries-pilotes.

    Les objectifs assignés à une galerie-pilote doivent donc être bien précisés de façon à définir de manière optimale son implantation, ses dimensions et son mode d'exécution. Les objectifs peuvent être classés comme suit :

     1) Contribution directe à la construction

    • drainage des eaux d'infiltration,
    • traitement préalable des terrains depuis la galerie pilote,
    • franchissement d'accidents géologiques reconnus ou supposés,
    • alésage successif pour des tunnels de grande section dans des terrains rocheux durs et massifs.

    2) Facilitation de l'exécution

    • - réduction des sujétions des venues d'eau en pleine section,
    • - ventilation des chantiers de terrassement mécanisés ou à l'explosif,
    • - réduction des vibrations des tirs à l'explosif des abattages ultérieurs par création d'une surface libre de dégagement (galerie faisant office de trou de bouchon), Des projets de tunnels peuvent être réalisés ainsi à proximité immédiate de structures sensibles, 

    3) Information sur les terrains traversés

    • reconnaissance géologique et géotechnique des terrains à l'avancement ou préalablement à l'avancement permettant d'optimiser les méthodes de construction,
    • analyse du comportement du terrain en section réduite,

    4) Amélioration des conditions de passation de marché des travaux

    •  La galerie-pilote est alors réalisée préalablement en tant que galerie de reconnaissance. La réduction des aléas sources de réclamation de la part de l'entreprise, ainsi que l'accroissement des cadences d'avancement et la réduction des délais d'exécution sont à prendre en compte pour juger de l'intérêt d'une galerie pilote.

     

    Dimensions des galeries-pilotes et implantation.

    D'une manière générale la galerie aura une section au moins égale à 10 m2 et sera située de préférence dans la partie centrale de l'ouvrage à excaver.

    Les dimensions et implantation dépendent à la fois des objectifs définis pour ces galeries et des moyens en matériel nécessaire à leur exécution, ainsi :

    • un avant trou par alésages successifs au tunnelier sera rigoureusement dans l'axe de l'ouvrage circulaire et d'une section adaptée au système de traction du ou des aléseurs.

    • un avant-trou creusé au tunnelier en tant que trou de bouchon afin de limiter les vibrations pourra être désaxé du côté de l'environnement sensible. Le gain apporté sur l'amortissement des vibrations engendrées par les abattages ultérieurs sera fonction de la section creusée au tunnelier. En pratique, ce sont les disponibilités en matériel qui sont déterminants dans le choix du diamètre du tunnelier par l'entrepreneur.

    • une galerie destinée au marinage ou au drainage sera située en partie basse de la section. A contrario, une galerie utilisée par la ventilation ultérieure du chantier sera implantée en partie haute de l'ouvrage.

     

    Contraintes et difficultés des galeries-pilotes.

    Les principales contraintes et difficultés sont les suivantes :

    • - l'emplacement d'une galerie pilote dans une section peut induire certaines contraintes dans la méthode de creusement de la pleine section (reprise de soutènement provisoire, drainage ou captage d'eaux de circulation,...),

    • obligation d'adopter des techniques de soutènement provisoire compatible avec un terrassement ultérieur traditionnel ou mécanisé. Dans le cas d'alésages successifs mécanisés, nécessité de dépose des soutènements métalliques - ou adoption de boulons destructibles en fibre de verre par exemple,

    • accroissement des risques dans l'hypothèse d'une galerie-pilote forée préalablement à la machine dans des conditions géologiques difficiles pouvant conduire à l'arrêt ou au coincement de la machine,

    • allongement global de la durée de réalisation de l'ouvrage compte-tenu de la réalisation préalable de la galerie pilote,

    • difficulté d'appréciation du comportement des terrains sous faible à moyenne couverture creusés à la machine foreuse et abattus ultérieurement à l'explosif.

     

    Performances et coûts.

    Une galerie-pilote ne peut être estimée indépendamment du coût global de l'ouvrage dans la section duquel elle est réalisée. Il s'agit plutôt de comparer les coûts avec ou sans réalisation d'une galerie pilote.

    Il faut également distinguer le cas où une galerie pilote est réalisée préalablement à l'excavation de l'ouvrage principal (cas courant de la galerie de reconnaissance) ou dans le cadre de l'exécution des travaux de génie civil (partie intégrante de la méthode.)

    Dans ces deux cas de figure, la longueur de l'ouvrage à réaliser est un élément décisif quand il s'agit de mettre en œuvre une machine foreuse pour réaliser la galerie pilote. D'une manière générale une longueur de 3 à 4 km est nécessaire pour amortir une machine de creusement ; des longueurs plus faibles sont envisageables en prenant en considération les gains apportés par cette galerie pilote pour les travaux d'abattage ultérieur (ventilation, délai, longueur volées, consommation explosive.)

    On peut considérer que le coût de la réalisation d'une galerie pilote au tunnelier en roche dure (hors traitement de consolidation) de 10 m2 environ représente entre 15 et 20 % du coût total de l'ouvrage définitif. Le gain global éventuel apporté par la réalisation d'une galerie-pilote doit être apprécié au cas par cas.


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  • Le tunnelier est certainement le moyen le plus rapide pour excaver un tunnel, pour autant qu'il puisse être utilisé dans des conditions optimales. Néanmoins, le temps nécessaire au montage et au démontage du tunnelier rallonge sensiblement le temps nécessaire à l'excavation par rapport aux autres méthodes.

    Par méthode de réalisation, on entend ici les moyens techniques choisis pour la réaliser les gros travaux de génie civil. Les étapes de construction intervenant après ceci (installations de ventilation, signalisation, éclairage, etc.)

    Le choix de la méthode de construction d'un tunnel dépend d'arguments économiques mais aussi de la configuration du terrain dans lequel le tunnel va être percé. Il est fait sur la base d'études approfondies. Le raisonnement expliqué ci-après a été simplifié à l'extrême. Il n'est donc peut-être qu'un mince reflet de la réalité. Son but est simplement de donner une idée aux visiteurs des critères qui influent cette décision.

    Vous trouverez ci-dessous une description succincte de celles-ci. Parmi les méthodes de réalisation on trouve :

    • Réalisation à l'aide d'un tunnelier,
    • Réalisation à l'aide d'une haveuse (machine à attaque ponctuelle),
    • Réalisation à l'aide d'un l'explosif.

     Pour faire son choix, le concepteur se pose notamment les deux questions suivantes :

    Quelle est la longueur du tunnel à réaliser ?

    Quelle est la nature de la roche à excaver ?

    Ces deux questions ne permettent pas à coup sûr de déterminer la méthode à employer, d'autres critères (couverture de terrain, proximité d'habitations, place disponible pour les installations de chantier, etc.) sont tout aussi importants. Toutefois elles aident certainement à éliminer les manières de procéder non appropriées. Si la longueur du tunnel à réaliser est courte, la variante tunnelier sera vraisemblablement écartée car non rentable ou non réalisable. Dans le cas contraire, le tunnelier peut être encore envisagé en fonction de la réponse à la deuxième question.

    Si la roche à excaver est de mauvaise qualité (roche marneuse friable, gonflante à l'eau, etc.) le tunnelier vraisemblablement écarté. La structure de cette roche ne convient pas au tunnelier. L'emploi d'explosifs sera vraisemblablement également proscrit. Si par contre la roche est de nature calcaire, ou tout autre roche dure, l'emploi d'un tunnelier ou de l'explosif peut être envisagé.

    On peut résumer les éléments de cette page dans le tableau suivant.

    La longueur du tunnel à réaliser est-elle importante ?

    La roche à excaver est-elle dure et de bonne qualité ?

    Méthode d'excavation probable

    Oui

    Oui

    Excavation au tunnelier ou à l'explosif

    Partiellement, par endroit

    Méthode mixte explosif/haveuse

    Non

    Excavation à la haveuse

    Non

    Oui

    Excavation à l'explosif

    Partiellement, par endroit

    Méthode mixte explosif/haveuse

    Non

    Excavation à la haveuse

    TUNNELIER, n. m.

    Synonyme : taupe, n. f.

    Domaine : génie civil.

    Définition : engin de génie civil servant à creuser des tunnels, travaillant de manière continue et à pleine section.


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